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Lenon Z. Mistwood Ϟ c'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps sans répit.

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Lenon Z. Mistwood Ϟ c'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps sans répit.  Empty
MessageSujet: Lenon Z. Mistwood Ϟ c'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps sans répit. Lenon Z. Mistwood Ϟ c'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps sans répit.  EmptySam 11 Juin - 11:14




Lenon Zadig Mistwood
ft. Candice Accola


Vingt trois ans. ϟ Bad romance. (ICI) ϟ Manchester. (ICI)

Célibataire. ϟ Interne en chirurgie. ϟ Hétérosexuelle

.

“ Somebody to love... „

→ COMMENT DÉFINIRAIS-TU LE GRAND AMOUR ? ϟ Le grand amour ? Je ne sais plus s’il s’agit d’un mythe ou non. Avec Ryan, Je pense l’avoir vécu, J’en suis même sûre. Je pense qu’il est possible de définir le grand amour uniquement lorsqu’on le vit réellement. Le grand amour vous fait vous sentir vivant, je crois, cette sensation au creux du ventre qui vous fait prendre conscience que la personne que vous aimez n’a rien à voir avec les autres. Sans parler de cette façon si spéciale dont vous la voyez elle, et personne d’autre. Le grand amour change une personne Je crois, il vous rend meilleur, il vous aide à voir clair quand tout semble confus. Je pense que quand on rencontre le grand amour de sa vie, tout s’arrête autour de vous, plus rien n’a vraiment d’importance à part cette personne.

→ COMMENT TE COMPORTES-TU EN AMOUR ? ϟ Mon comportement en amour ? Très complexe, avant Ryan, Je ne voulais rien de sérieux, J’enchaînais les histoires d’un soir, sans vraiment me soucier de ce que les gens pouvaient ressentir à mon égard. Puis il y a eu Ryan, et Je crois que dès lors mon comportement à changé, J’avais besoin de sa présence, de l’entendre me dire qu’il m’aimait. Jalouse, Je le deviens rapidement en amour, surtout lorsque Je suis sincèrement amoureuse, Je me souviens, voir une fille approcher Ryan me rendait totalement dingue. Je pense qu’en amour, Je peux me montrer docile et fidèle lorsque mes sentiments sont sincères, mais ne comptez pas sur moi pour faire de grandes déclarations à la Roméo et Juliette, très peu pour moi.

→ T'ES PLUTÔT DU GENRE ROMANTIQUE OU TU DÉTESTES ÇA ? ϟ Je n’ai Jamais été du genre grande romantique, les pétales de roses et les bougies, Je trouve ça plutôt niais, alors forcément niveau romantisme on repassera. Je pense que pour prouver son amour à quelqu’un on n’a pas besoin de grandes démonstrations, qu’on pourrait retrouver dans toutes les comédies romantiques de bases. Au contraire, parfois les plus simples intentions restent le plus sincères et les plus efficaces. Alors faire des grandes déclarations, très peu pour moi. Je suis une sorte d’handicapés des sentiments depuis la mort de Ryan alors exprimer ces derniers semble à l’heure actuelle plutôt difficile voir impossible pour moi…


.

“ Once upon a time... „
Le truc que j'avais pas compris, c'est que le but, c'est pas de garder les gens pour toujours avec sois. L'important c'est juste de faire en sorte de passer des moments magiques avec eux tant qu'ils sont encore là, et peu importe finalement si ils prennent un chemin différent, du moment qu'ils s'en vont en nous laissant la tête pleine de souvenirs.

Un couloir d’une clinique privée de la ville de New-York, et cet homme, Léonard Mistwood, reconnu à travers le pays comme étant l’un des hommes les plus puissants de sa génération. Au départ, c’était un simple commercial dans une société d’informatique, mais très vite l’homme plus sûr de lui que jamais a décidé de se lancer, et à mis au point de nombreux logiciels utilisés par des milliers d’utilisateurs, à présent surpuissant, il ne compte plus les millions sur son compte en banque. Pourtant ce soir, c’est une mine inquiète, presque apeurée qui se lit sur son visage. Le voilà qui fait les cents pas, passant une main dans sa barbe de trois jours, avant de glisser une main dans sa nuque, s’adossant au mur en tapotant très finement sa tête contre le mur. « Monsieur Mistwood ». Une infirmière qui arrive à sa hauteur sans que ce dernier ne s’en rende vraiment compte, elle effleure son bras, le faisant légèrement sursauter. « Comment va mon épouse, et notre bébé, dites moi, cela fait maintenant quatre heures que j’attends ici, sans réponses ». La voix de l’homme se faisait plus dure face à une infirmière sui semblait tout aussi perdue que lui. « Votre épouse a eu un choque important avec cet accident, les médecins ont réussi à contrôler l’hémorragie, mais votre bébé, va naître ce soir, avec de l’avance certes, mais poursuivre cette grossesse dans l’état actuel de votre femme serait un suicide… ». L’homme abasourdi, tomba presque au sol avec l’annonce de cette nouvelle, tout venait de basculer en quelques secondes à peine. Il ne trouva rien à répondre, la voix bloquée par des larmes qui ne coulaient pas. L’infirmière repartie directement au bloc, le laissant seul. Les minutes passent, les heures se suivent, Léonard fixant cette horloge murale, à la fois inquiet et fatigué, il ne bouge pas, statique comme une statue de cire, alors qu’un médecin, encore vêtue de sa blouse, un masque descendu au creux du cou, s’approche. « Monsieur Mistwood, je suis le docteur Mcarthy, votre épouse se porte bien, et votre petite fille également… ». Un fin sourire se dessina sur les lèvres du médecin, regardant un mari, et un père à présent bien plus rassuré qu’auparavant. « Votre fille reste une prématurée, il faudra donc la surveiller avec assiduité mais c’est déjà une petite battante, elle y arrivera… ». Une légère tape sur l’épaule, et voilà que les deux hommes marchent en direction de la nurserie, où se trouve la petite Lenon Zadig Mistwood, qui venait ce soir là, de pousser son premier souffle, le premier d’une longue série.

Dis, tu veux pas juste venir faire un petit road trip dans ma tête, dans mes rêves, dans mes espoirs ? Juste pour que tu puisses voir comme on a l'air heureux tous les deux...

Lenon Zadig Mistwood. Une petite fille dont la venue était plus qu’attendue tant par ses parents, que par les journalistes qui étaient bien trop impatients de découvrir le minois de la première héritière de la fortune des Mistwood. Durant l’enfance de la jeune femme, son père, cet homme aussi charismatique, qu’énigmatique s’était toujours attaché à la protéger de tout cet engouement médiatique autour de la famille, ne voulant pas voir sa fille encore si jeune affichée et exhibée à la une de tous les magazines à scandales. Si l’on faisait une rétrospection de l’enfance de la petite Lenon, nous ne pourrions dire grand-chose, une enfance dorée, entourée de parents aimant, presque idyllique, la petite fille, désirait et obtenait c’était le mot d’ordre, ses parents ne pouvaient lui refuser quoique ce soit, et la jeune fille l’avait vite compris. Hors de question pour ses parents de l’envoyer dans une vulgaire école publique, pour elle, il fallait la crème de la crème. C’est ainsi qu’elle alla dans une école primaire catholique et privée, une éducation stricte, mais qui selon son père lui serait tout à fait bénéfique. La jeune Lenon, prit de l’assurance à mesure que les années passaient, de petite fille modèle, elle passa à une belle adolescente, dont le cœur et le visage aussi angélique que magnifique ne laissait personne de marbre. Plus espiègle et malicieuse que jamais, elle savait au fond d’elle qu’elle plaisait, et elle aimait en jouer, charmer les garçons et ensuite les envoyer valser comme il se doit, pourquoi s’enticher d’un garçon qui au fond ne lui serait pas utile ? Ses parents eux, ne voyait pas cela du même œil, pour eux hors de question de voir leur fille devenir une espèce d’adolescente, droguée et dépravée. Ses parents avaient été clairs, elle ne continuerait pas ce numéro bien longtemps, et c’est ainsi que l’année de ses dix huit ans, ses parents lui présentèrent Andrew Vanleck, un jeune homme d’une très bonne famille à la hauteur de celle des Mistwood, une seule envie consumait les parents de Lenon : Cette dernière devra épouser Andrew qu’elle le veuille ou non.

Je ne sais pas si il s'est rendu compte que pendant tout ce temps, son sourire espiègle, ses haussements de sourcils, son rire maladroit, ses regards en coin, étaient mes médicaments, ma drogue, ma béquille, ma bouée de sauvetage, mes étoiles filantes, mes pilules de bonheur, ma raison d'avancer.

« Andrew, tu es très gentil, mais tu ne crois pas sérieusement que je vais t’épouser ? Tu es totalement insignifiant pour moi. ». Cette phrase venait de tomber comme le jugement dernier d’une relation qui au fond n’en était pas vraiment une. La mystérieuse Lenon, regardait l’homme perplexe, presque blessé par les mots cinglants, de sa fiancée. Deux ans, que ces fiançailles de complaisance avaient été célébrées, deux ans, que Lenon devait supporter de jouer la fille amoureuse, alors qu’il n’en était rien. Amoureuse elle l’était mais pas d’Andrew…mais de Ryan, un serveur qu’elle avait rencontré dans un bar au centre ville de New-York, évidemment, elle ne se voyait pas le présenter à ses parents, elle savait pertinemment qu’ils s’opposeraient à cet amour, n’acceptant sûrement pas qu’une fille comme la leur s’entiche d’un banal serveur de bas étage. Andrew, se leva et regarda la jeune femme, un peu gênée tout de même par ses paroles. « Très bien, j’en ai assez, d’être là à me battre pour t’offrir une vie que tu mérites, tu ne veux plus de moi, libre à toi, c’est fini Lenon ». La belle demoiselle, souffla presque de soulagement en le regardant s’éloigner, évidemment elle ressentait un léger pincement au cœur, de le voir partir ainsi, ce n’est pas qu’elle le détestait mais elle savait qu’elle ne serait jamais amoureuse de lui. Elle prit son sac avant de tourner les talons, elle n’avait pas cours aujourd’hui, brillante étudiante en médecine, elle avait depuis son adolescence toujours eu envie de devenir médecin sauver des vies, c’est ce qui l’intéressait. Elle marchait, sourire aux lèvres dans les rues de la grande pomme afin de partir retrouver l’homme qu’elle aimait. Le voyant de loin, cigarette en bouche, elle sourit en coin, ce dernier acceptait mal la situation mais il le faisait parce qu’il l’aimait, parce qu’il ne voulait qu’elle. Il se retourna légèrement apercevant sa fiancée qui s’approchait à toute allure avant de se jeter dans ses bras. Elle posa sa tête près de son cou, inspirant une bouffée d’oxygène, s’imprégnant de son odeur. « C’est fini Ryan, avec Andrew…je ne pouvais plus continuer ce jeu, je suis partie, il n’y a que toi et il n’y aura que toi ». L’homme d’abord surprit de l’aveu de Lenon, finit par la prendre dans ses bras, la faisant légèrement décoller du sol avant de l’embrasser fougueusement. « Je vous aime mademoiselle Mistwood ». Un rire enfantin s’échappa de la bouche de la demoiselle en question, alors que l’homme rentra chercher ses affaires ayant terminé son service. « On va chez moi ? ». La jeune femme hocha la tête avant de se diriger vers le trottoir pour traverser, elle n’attendit pas Ryan qui la suivait derrière, perdue dans ses pensées elle s‘avança, ne remarquant même pas que le feu venait de passer au rouge. « LENON ! ». Surprise la jeune femme se retourne vivement alors qu’elle remarqua cette voiture arrivant à toute allure, tétanisée elle ne bougea pas alors que sans réfléchir Ryan se jeta devant elle afin de la protéger, la propulsant légèrement sur le côté, et tout bascula, la voiture le percuta, le traînant sur quelques mètres. La foule autour totalement paniquée assistait à ce spectacle alors que Lenon se releva, le regard brouillait par les larmes. « RYAN NON ! ». Elle se précipita à ses côtés, tentant de lui parler, de se faire entendre, mais l’homme était inconscient, elle hurla à un passant qu’il l’avait rejoint de prévenir les secours. « Ryan, mon amour, restes avec moi, tu ne peux pas partir, tu n’as pas le droit tu le sais, je t’en supplie ». Les larmes coulaient, sa voix cassée perdait du volume à mesure que la sirène de l’ambulance se rapprochait. Les secours arrivèrent rapidement, commençant le massage cardiaque, forçant la demoiselle à s’écarter. Après quelques minutes d’acharnement, l’un des médecins se tourna vers elle. « Mademoiselle…ses blessures étaient bien trop grave et… ». Horrifiée Lenon le regarda, les larmes coulant à flots. « Non, Non, ne dites rien, je vous l’interdis ! ». Tomba à genou au sol, elle laissa éclater sa douleur, sa rage, sa peine, alors que les ambulanciers, l’aidaient à se relever pour la conduire, à l’hôpital...

Je ne veux pas bâtir ma vie sur les sentiments parce que les sentiments changent. Ils sont fragiles et incertains.Tu les crois profonds et ils sont soumis à une jupe qui passe, à un sourire enjôleur.

Trois années s’étaient écoulées depuis le drame qui avait totalement bouleversé Lenon. Après la mort de Ryan, elle n’était plus vraiment elle-même, elle s’était fermée aux autres, refusant d’accepter la triste vérité, elle vivait dans le déni, s’imaginant encore que Ryan franchirait le seuil de la porte en l’appelant mon amour et en l’embrassant avec la douceur qui l’avait comblé durant tout ce temps. Elle avait continué ses études de médecine. Son rêve ? Travailler dans l’urgence, sentir l’adrénaline l’a transporté ailleurs. Mais au fond d’elle, il lui manquait, lui, cruellement, comme si une part d’elle-même était morte ce jour-là, et au fond c’était ce qui s’était passé. La jeune femme avait pris confiance en elle, elle savait garder ce sang froid qu’elle possédait dans toutes les situations. Et l’amour dans tout cela ? Il n’y en avait pas, elle s’était promis de ne jamais retomber amoureuse après la mort de Ryan, trop de blessures, de larmes, elle devait préserver son cœur, disait-t-elle. Elle avait d’ailleurs obtenue la possibilité de faire son internat dans un hôpital très réputé à Manchester. Elle ne s’était jamais imaginée quitter New-york mais à présent, cette ville si fantasque et exubérante, lui semblait monotone, presque grisante. Elle accepta ce poste, posant il y a quelques jours à peine ses valises à Manchester pour un nouveau départ. Assise sur la terrasse de son grand loft, elle regardait au loin, passant ne main dans ses cheveux afin de les ramener en arrière. Elle tenait sur ses genoux, une photo, une photo d’elle et Ryan« Tu vois, je te l’avais promis d’y arriver, j’aurais juste aimé que tu sois là, à me dire que tu étais fière, à sentir le contact de tes lèvres me faisant comprendre que j’étais la seule…mon amour, reviens moi… ». Une larme tomba sur le portrait des deux amoureux déchus, il était temps de se relever.



“.skinnyHOPE„
Alors alors présentons-nous, sur la toile tu me retrouveras sous le pseudo de .skinnyHOPE. Derrière ce petit pseudo, se trouve une demoiselle de vingt et un, bientôt vingt deux ans (Bouh, Je me fais vieille). Je serais là tous les jours pour vous servir membres adorés, alors n'hésitez pas à me contacter en cas de problèmes. Lenon Z. Mistwood Ϟ c'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps sans répit.  3967998059
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Lenon Z. Mistwood Ϟ c'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps sans répit.

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