Le début d'une vie est un moment spéciale. Je veux dire les femmes doivent tout de même être un peu sado maso, pour être heureuses d'accoucher. Rien que d'y penser ça me retourne l'estomac. Mais bon pour vous raconter mon histoire il faut bien commencer par ce moment peu ragoûtant. C'était donc la soirée de la veille de la saint valentin, quelque part dans le monde, pour être plus précise à San Diefo dans une des clinique privée de la ville. Une jeune femme et son mari étaient dans une salle de travail, à en voir l'état de la jeune femme le travail avait bel et bien commencé et dans pas longtemps le jeune couple allait connaitre les joie d'être parents. Le travail prit plus de temps que prévu et ce fût peu après minuit qu'ils furent parents d'une petite fille. Elle était toute petite, une vrai poupée de porcelaine, son visage était fin, ses cheveux fin et ses mains si petite. Le bonheur fut de courte durée. En effet à peine deux heures après l'accouchement ma mère perdit la vie. Bien sur moi je ne pouvais rien dire, d'ailleurs je venais de naitre alors bon me demander de souffrir à ce moment là ce n'était pas possible. Par contre pour mon père c'était autre chose. Il était complètement désespéré, il y a à peine quelques heures il contemplait sa famille réunit, sa nouvelle raison de vivre et là , une force surnaturelle lui reprenait une partie de ce bonheur.
Malgré le fait qu'il venait de perdre la femme de sa vie, un petit être avait besoin de lui à ce moment là et ce n'était pas le moment de fuir devant tout ça. Voilà comment avait commencé ma vie. Tout était parfait pendant les premiers instants de ma vie, puis tout commença à partir en cacahuètes.
La vie est faite d'obstacles et peu importe votre âge, vous devez surmonter. Mon père lui n'a pas comprit que maintenant il devait être à la fois le côté dur et autoritaire des parents, mais aussi le côté doux et gentil. Après tout il est devenu le père et la mère. Mais non, depuis que je suis en âge de comprendre je le vois boire et passer ses journées devant la télé. Si bien qu'un jour on me retira à lui. Je ne partis pas très loin, et oui ma grand mère maternelle avait demandé ma garde, j'étais tout ce qui lui restait de sa fille. C'est à ce moment là que je compris que ce n'était pas normal de boire. Avec ma grand mère c'était diffèrent elle me faisait découvrir les choses du monde, me sortait au zoo, au bord de la plage. Je compris enfin que malgré mon âge ce n'était pas de ma faute si ma maman n'était plus là parmi nous.
C'est durant la même année que je commençais l'école. Dès le début, je me fis des amis et oui je n'étais pas une enfant sauvage qui restait dans son coin sans jamais parler aux autres et qui ne prêtait pas ses jouets. Non au contraire j'étais toujours entrain de rigoler et jouer avec les autres. A vrai dire surtout avec les garçons, j'étais pire qu'un garçon manqué. Je rentrais toujours avec de la boue sur les vêtements et la plupart du temps même dans mes cheveux ou sur mon visage. Je ne voyais que très peu mon père pendant cette période là, mais je savais que c'était pour mon bien, mais aussi pour le sien. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais sur que ma grand mère avait quelque chose derrière la tête.
La vie passe et les événements ne se ressemblent pas. Depuis que mon père ne faisais plus partit de ma vie c'était une nouvelle vie, je grandissait dans un monde serein avec ma grand mère et mon grand père. Les années commençaient à passées. J'étais maintenant au collège, et c'est là que la vraie vie commence. Et oui c'est ici que le clubs commençaient. Même si j'étais une personne peu sur d'elle je passa les tests pour entrer dans les pom-pom girl et à ma grande surprise je fut prise. Puis la première année commença et c'est après le premier trimestre que le prof principale de ma classe me demanda si je pouvais faire un peu d'aide aux devoirs. Bien sur j'accepta la proposition.
Tout mon collège se passa dans ses conditions, c'est-à-dire, faire semblant d'être une fille qui aime être populaire et agité ses pom pom d'un côté et de l'autre une personne responsable qui devait aidé les autres. C'est à partir de ce moment là que je savais que je devais aider les gens. A peine cela dit j'étais partir à l'hôpital pour demander si je pouvais pas être bénévole. Ils acceptèrent c'est donc pourquoi depuis cette époque je vais six heures par semaine à l'hôpital de la ville. Juste pour être présente pour des gens sans famille ou même faire de la lecture à des personnes. Mais comme voilà comme à chaque événement il y a une fin et celle du collège prenait fin au bout de 4ans. A la fin de ces 4années j'eus mon diplôme pour entrer au lycée avec mention pour le plus grand plaisir de mes grands parents.
Après le collège vient une dernière étape dans le cursus scolaire.La jungle pour la plupart, quand vous écoutez les gens, soit cette période fut la meilleure de leur vie soit la pire. Il n'y a jamais de juste milieu et personnellement je comprends pourquoi. Bien sur pour moi ce fut formidable. Au lycée j'étais devenue la capitaine des pom pom girls, les autres élèves m'avaient élu pour être présidente des élèves et mes notes elles étaient toujours excellentes, je ne pouvais rien demander de plus dans la vie. Bon bien sur pendant les époques comme celle du lycée, personne n'est parfait et je n'étais pas la personne qui allait contourner cette chose. En effet étant une personne très populaire durant cette période je me voyais invitée dès qu'il y avait une fête. Mais ceci n'a pas que des bons côtés, je pris très vite goût à la fête et à l'alcool.
Bien sur je n'étais pas alcoolique, mais ceci commençait beaucoup à inquiéter mes grands parents, et surtout ma grand mère pour qui j'étais son cadeau le plus précieux au monde. Un jour Alors que je rentrais tout juste d'une fête, elle voulut me parler. Elle m'expliqua les choses comme elle les voyait. Si je continuais dans cette voie, je ne pourrais pas faire de grandes choses, mais si je m'arrêtais à temps, elle était sur que je pourrais être une personne très importante pour le monde. Je ne comprenais pas pourquoi elle disait cela, mais je voulais qu'elle soit fière de moi, c'est pourquoi je ralentis beaucoup sur les fêtes. Malgré tout je garda mon statut de fille populaire au lycée, et puis je fus diplômée la vraie vie aller commencer pour moi et l'époque de l'insouciance me manquais déjà. Je rentrais maintenant dans mon école de journalisme et tout allait changer.
Les études ne sont pas le meilleur moment de notre vie, pourtant c'est à ce moment là que vous étudiait ce que vous aller devenir. Je cite ma professeur de recherche. Elle savait qu'à des moments les étudiants peuvent avoir des coups de mou. Elle était pour moi comme un modèle dans la vie. Les semaines passaient et se ressemblaient. Je suivais les cours, puis en fin de journée je partais au café pour travailler. Puis vins un moment extraordinaire arriva. C'était les vacances scolaire et une chose est sur j'allais en profiter. C'est pourquoi je vins ici dans ce paradis sur terre pourtant c'est ici que ma vie allait changer à jamais et non pas en cours